L’assassinat de Jonas Farigoule

L’Assassinat de Jonas Farigoule Qu’un Grandhomme conconnu calanche et c’est une affaire d’État. C’est du moins ce que tout le monde feint de croire. Cette mort ne concernerait en rien nos détectives amateurs si l’une de leurs amies n’y était, bien malgré elle, mêlée et qu’un ami n’avait disparu dans l’affaire. Le retrouveront-ils? Ce qui est certain, c’est que le plumitif ne ressuscitera pas, au grand dam d’une certaine métaphysique. À quelque temps de là, le divorce de Jonas Farigoule était prononcé. Il fit construire une piscine dans sa propriété agrandie, un «généreux mécène» anonyme lui ayant légué une somme jamais dévoilée. Deux ou trois ans plus tard, Farigoule publiait un nouveau roman, dans lequel son alter ego, Jérôme Falaise, commissaire de police torturé par le poids de la Faute, le sexe de la femme, le sexe des femmes, les sexes de femmes, les femmes du sexe ET la métaphysique, désespérant DE et EN Dieu, gris et aigri, enquêtait sur une affaire d’enlèvement. Cet ouvrage fut couronné par un Grand Prix Littéraire de la Police dont nul n’avait jamais entendu parler. Et salué par la critique qui trouva – mais que ne trouvait-elle pas?– que: «La force du roman de Jonas Farigoule est d’envelopper son histoire d’un réseau de faits vrais, de paysages , d’impressions fugitives et cruelles. Les amours de Jérôme Falaise avec une jeune putain droguée, le sida puis la mort d’une de ses collègues, leur dernière enquête, la rencontre, un soir de demi-brume à Londres, d’un hérisson: autant de pages riches, bouleversifiantes, qui donnent tous les fades parfums de la mort à ce roman-méditation sur l’Après.(p. 80)

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Description

En 2009, quinquagénaire avancé, le sculpteur, peintre et dessinateur lausannois Henry Meyer cesse de sculpter, de peindre et de dessiner pour se consacrer à l’écriture. Sans préméditation, il produit un roman policier, plus précisément un roman peu policier. Non seulement il crée du premier coup un genre particulier, mais il adopte d’entrée une écriture personnelle avec des personnages caractéristiques dans une ville parallèle. «Ces histoires peu policières se passent dans une ville “imaginaire mais presque”. La richesse des genres, le foisonnement des références, l’ouverture du français à des expressions locales apportent un ton nouveau à la littérature romande.» (Coopération, 23.12.2013)

Informations complémentaires

Auteur

Henri Meyer